Jeudi 29 Avril à 21H. Retrospective Dario Argento

Jeudi 29 Avril à 21H. Retrospective Dario Argento
..............Entré 2€.............

29.3.10

"Rabid" (1977) David Cronemberg.




Synopsis

Gravement blessée à la suite d'un accident de moto en rase campagne, Rose est opérée d'urgence dans une clinique privée des environs, Kiloïd. Spécialisée dans la chirurgie esthétique, cet établissement s'apprête à expérimenter de nouvelles techniques de greffes de peau. Rose, grièvement brûlée, va servir de cobaye : on lui prélève de la peau saine, que l'on neutralise par un procédé spécial, puis qu'on lui regreffe pour réparer les tissus endommagés. Après un mois de coma, elle se réveille brutalement. Son métabolisme a changé et un nouvel orifice est apparu sous son aisselle. Elle ne peut plus digérer de nourriture et doit s'alimenter directement de sang, qu'elle pompe par l'intermédiaire d'un dard rétractable logé dans le nouvel orifice. La victime est alors contaminée et développe des symptômes proches de ceux de la rage. Animée de pulsions d'une extrême violence, elle doit à son tour chercher du sang. L'épidémie se répand rapidement, la loi martiale est décrétée.

Fiche technique

Titre original : Rabid
Réalisation et scénario : David Cronenberg
Décors : Claude Marchand
Photo : René Verzier
Son : Richard Lighstone
Musique : Ivan Reitman
Production : Cinema Entertainment Enterprise, SDICC
Durée : 91 min
Format : couleur - mono
Année : 1977

26.3.10

"Cléo de 5 à 7" (1961) Agnès Varda





Synopsis
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
L'action se déroule en temps réel à Paris. Cléo, une jeune et belle chanteuse plutôt frivole, craint d'être atteinte d'un cancer. Il est 17 heures et elle doit récupérer les résultats de ses examens médicaux dans 2 heures. Pour tromper sa peur, elle cherche un soutien dans son entourage. Elle va se heurter à l'incrédulité voire à l'indifférence et mesurer la vacuité de son existence. Elle va finalement trouver le réconfort auprès d'un inconnu à l'issue de son errance angoissée dans Paris.

Fiche technique
Titre : Cléo de 5 à 7
Réalisation : Agnès Varda
Assistants-réalisation : Bernard Toublanc-Michel et Marin Karmitz
Scénario : Agnès Varda
Dialogues : Agnès Varda
Musique : Michel Legrand
Chansons : paroles d'Agnès Varda et musique de Michel Legrand
Directeur de la photographie : Jean Rabier
Cadreur : Alain Levent
Assistant-opérateur : Paul Bonis
Ingénieurs du son : Julien Coutellier, Jean Labussière
Mixage son : Jacques Maumont
Décorateur : Bernard Evein assisté par Jean-François Adam
Ensemblier : Robert Christides
Maquillage : Aïda Carange
Costumes : Alyette Samazeuilh
Photographes de plateau : Liliane de Kermadec et Raymond Cauchetier[1]
Montage : Janine Verneau, Pascale Laverrière
Stagiaire montage : Noun Serra
Scripte : Aurore Paquiss
Régie : Jean-François Adam, Édith Tertza
Chef électricien : Roger Delattre
Chef machiniste : Roger Scipion
Pays d'origine : France
Producteurs : Georges de Beauregard et Carlo Ponti (Rome Paris Films, France)
Directrice de production : Bruna Drigo
Distribution : Athos Films puis Ciné-Tamaris
Publicité et affiche : Jean Fourastié
Visa : n° 24 864
Tournage : juin-juillet 1961 à Paris (dans l'ordre chronologique du scénario) :
1er arrondissement de Paris : Rue de Rivoli
14e arrondissement de Paris : Quartier du Montparnasse
15e arrondissement de Paris : gare de Paris-Montparnasse
14e arrondissement de Paris : Montparnasse, Parc Montsouris
13e arrondissement de Paris : Hôpital de la Pitié-Salpêtrière
Format : noir et blanc et générique en couleur (Gevaert) – 1.66:1 – son monophonique – 35 mm
Genre : comédie dramatique
Durée : 90 minutes

25.3.10

"FRISSONS" (1975) David Cronenberg

Pendant la visite d’un couple dans un immeuble luxueux et moderne, un sexagénaire agresse dans l’un des appartements une jeune fille qui se défend curieusement de manière très molle. Il l’étrangle, entreprend de l’autopsier, verse un produit dans son ventre, puis se suicide ensuite. Tardieux, un homme malade sujet à de violents maux de ventre, remarque les corps en se rendant à l’appartement mais s’enfuit aussitôt. C’est finalement le docteur Saint-Luc qui prévient la police après la découverte des cadavres. L’assassin, qui est en fait un médecin de renom (le docteur Hobbes), avait prévenu son confrère d’une recherche importante et tenait à le rencontrer pour lui faire part de ses observations. Saint-Luc fait alors la connaissance d’un autre médecin qui travaillait avec le docteur Hobbes. Ils comprennent que Hobbes se servait de la jeune fille comme cobaye après lui avoir injecté un parasite censé décupler ses instincts sexuels. Or elle semble avoir infecté quelques hommes de l’immeuble. Saint-Luc ne tarde pas à comprendre qu’il va devoir faire face à une épidémie totalement incroyable. Les malades ont une sexualité exacerbée et deviennent violents en agressant les habitants de la tour qu’ils contaminent. L’immeuble est alors coupé du monde, les portes fermées. Isolés, Saint-Luc et son assistante doivent faire face à une horde d’affamés sexuels toujours plus nombreux, et essaient de s’échapper de la résidence.

Fiche technique
Réalisation et scénario : David Cronenberg
Photo : Robert Saad
Son : Michael Higgs
Montage : Patrick Dodd
Musique : Fred Mollin (non crédité)
Effets spéciaux et maquette : Joe Blasco
Production : DAL Production et SDICC
Tourné à Montréal
Durée : 87 minutes
Couleur
Date : 1975

10.3.10

SHAUN OF THE DEATH



Synopsis

Attention le résumé ci-dessous raconte l'intrigue du film !

Shaun (Simon Pegg), vendeur dans un magasin d'électroménager de la banlieue de Londres, mène une vie qui ne va nulle part, suivant une routine ennuyeuse, et sa petite amie Liz (Kate Ashfield) n'est pas satisfaite de leur relation, notamment parce qu'elle ne tourne qu'autour du pub favori de Shaun, Le Winchester. De plus, Shaun a certains problèmes avec son beau-père Philip (Bill Nighy) avec lequel il ne s'est jamais entendu et qu'il ne considère pas comme son père. Sa petite amie Liz décide ainsi de le quitter. Il noie alors sa peine au Winchester avec Ed (Nick Frost), son meilleur ami.


Simon Pegg alias Shaun
Après une nuit de beuverie, Shaun et Ed se réveillent dans un monde peuplé de mort-vivants. Malgré tout, ils ne s'en rendent compte que lorsque Shaun se fait attaquer par deux zombies, qu'ils prenaient pour des ivrognes. Shaun découvre aussi que son ami et colocataire Pete (Peter Serafinowicz) est devenu aussi un mort-vivant. Shaun décide alors de sauver Liz, ses amis Dave (Dylan Moran) et Dianne (Lucy Davis), ainsi que sa mère et Philip (qui a été mordu). Le plan de Shaun consiste à se planquer au Winchester.


Le WinchesterTout le monde rassemblé, Shaun décide d'aller à pied jusqu'au Winchester. Durant le trajet, Philip a le temps de faire la paix avec Shaun avant de se transformer. C'est ensuite au tour de la mère de Shaun de se faire mordre. C'est pourquoi, arrivé au Winchester, Shaun doit tuer sa mère qui s'est transformée en zombie.

Le pub étant cerné par les zombies, les survivants disparaissent les uns après les autres, jusqu'au moment où ils ne sont plus que trois et qu'il n'y a plus d'issue possible...

Fiche technique
Titre : Shaun of the Dead
Titre québécois : Shaun et les zombies
Réalisation : Edgar Wright
Scénario : Edgar Wright, Simon Pegg
Production : Nira Park
Distribution : United International Pictures - Rogue Pictures
Budget : 4 000 000 £[1]
Pays d'origine : Royaume-Uni
Format : Couleurs - 2.35:1 - Son Dolby numérique - 35 mm
Genre : comédie romantique avec des zombies
Durée : 95 minutes
Dates de sortie :
9 avril 2004 au Royaume-Uni
11 août 2004 en Belgique
27 juillet 2005 en France
Interdiction :
interdit en salles aux - de 12 ans en France.
classé 13 ans et plus au Canada

3.3.10

Nosferatu (1922) Friedrich W. Murnau.

SYNOPSIS

À Wismar en 1838 (et non à Brême comme le laisse entendre la version française), Thomas Hutter, un jeune clerc d’agent immobilier ayant fait un heureux mariage avec Ellen, doit partir pour la Transylvanie afin de vendre une propriété au Comte Orlok qui désire avoir une résidence dans la ville. Après un périple sur une terre d’ombres, le jeune homme est accueilli au sein d’un sinistre château par le comte. Durant la transaction, Orlok aperçoit une miniature d’Ellen qui le fascine et décide d’acquérir le bâtiment – proche de la maison du couple – qui lui est proposé. Hutter, hôte du comte, ne tardera pas à découvrir la véritable nature de celui-ci. Alors Nosferatu cheminera vers sa nouvelle propriété, répandant dans son sillage par ses morsures que le peuple (« éclairé » par les mensonges immémoriaux de la médecine) prendra pour une épidémie de peste, la mort et la désolation. Ellen bientôt en proie aux mains griffues de Nosferatu qui la convoite, laissera le comte faire d’elle sa victime et sacrifie son sang au vampire pour sauver la ville frappée par la peste.

Les intertitres sont de trois types : ceux qui concernent le texte du narrateur historien ; ceux qui évoquent les documents écrits ou lus par les protagonistes (journaux intimes, lettres comme dans le roman) ; enfin, les intertitres consacrés aux dialogues.

Divers effets visuels sont utilisés par Murnau afin de susciter l’inquiétude et le malaise : voiture qui amène Hutter au château, en négatif ; apparitions du comte se détachant de l’obscurité ; mouvements accélérés d’Orlok chargeant les cercueils destinés à l’abriter pendant son voyage vers Wismar… De plus, la teinte de la pellicule accentue différents climats, comme c’est le cas pour les scènes de nuit en bleue et les séquences de jour, teintées de sépia.

FICHE TECHNIQUE

Titre : Nosferatu le vampire
Titre original : Nosferatu, eine Symphonie des Grauens
Scénario : Henrik Galeen, d’après le roman de Bram Stoker Dracula
Photographie : Fritz Arno Wagner
Décors et costumes : Albin Grau
Musique (selon version) : Hans Herdmann, P. Schirmann[1]
Production : Prana Film Berlin GmbH
Genre : Horreur
5 actes
Format : Noir et blanc - 1,33:1
Durée : 72 min (soit 1 967 m)
Première : 6 août 1922